- Ces retraités qui font le choix de l'Espagne
De plus en plus de retraités passent plusieurs mois par an voire toute l'année en Espagne. Proche de la France, le pays permet en effet des aller-retours fréquents. Le climat est doux, la culture gastronomique riche et variée, les activités de plein air sont nombreuses et faciles d'accès. Sport nautique, baignade ou balade à la plage, randonnée et cyclisme font partie des exercices physiques sollicités par une grande majorité de retraités. De nombreuses régions espagnoles offrent un cadre idéal pour les pratiquer. C'est le cas notamment de la Costa Blanca, région jouxtant la Catalogne et située sur les bords de la mer Méditerranée. Au-delà de l'accueil, du climat et des richesses propres à l'Espagne et à cette région, le marché immobilier est aussi une grande source d'attractivité pour les retraités venus des quatre coins de l'Europe. Il est en effet possible d'y trouver de belles opportunités, des appartements, de simples maisons ou de belles villas, à des prix très intéressants. C'est le cas notamment de l'offre disponible à Calpe, station balnéaire réputée, sur la Costa Blanca.
- La fiscalité en Espagne
Bien que l'Espagne fasse partie de l'Union Européenne et que ses us et coutumes soient quasi identiques aux usages français, il existe quelques spécificités propres au pays. Les résidents étrangers vivant sur le sol espagnol sont en effet tenus de déclarer tous leurs revenus dont leur pension de retraite. Cependant, notez qu'il existe une convention passée en 1995 entre la France et l'Espagne, permettant aux ressortissants de ne pas payer deux fois l'impôt, à savoir dans leur pays d'origine et leur pays de résidence. En outre, au-delà de 183 jours passés en Espagne, les résidents sont considérés comme ressortissants espagnols ! La pension de retraite versée par les organismes français demeure imposable en France, tandis que les autres ressources sont affaire espagnole. Toutefois, les résidents "longue durée" bénéficient de l'exonération de la CSG et de la CRDS, ce qui est loin d'être négligeable.
- La fiscalité sur l'immobilier espagnol
Concernant maintenant vos biens immobiliers espagnols, sachez que la fiscalité immobilière varie selon que l'on est ou non résident du pays. Si votre bien est votre résidence principale et que vous le louez une partie de l'année, vous bénéficiez d'une exonération d'impôt. Les non-résidents bénéficient quant à eux d'un taux d'imposition sur leur bien de 19% en 2016 contre 24,75% en 2016. A titre de comparaison, notez qu'en France la fourchette se situe entre 25 et 41% selon la tranche d'imposition sur les revenus dans laquelle on se trouve. Selon que l'on soit ou non résident espagnol et l'usage que l'on fait de son bien immobilier, le montant de l'impôt et des taxes varient. Renseignez-vous, mais dans tout les cas, la fiscalité immobilière espagnole demeure plus favorable que la fiscalité française.
- Acquérir un bien immobilier en Espagne
Placer ses économies dans l'immobilier espagnol est encore aujourd'hui un projet rentable ! C'est d'ailleurs le cas pour des raisons fiscales mais aussi pour des raisons contextuelles. En effet, au vu de l'état du marché immobilier espagnol qui certes sort de la crise mais demeure encore très intéressant, certaines régions du pays offrent encore de belles opportunités. C'est valable pour toute la Costa Blanca et Calpe, jolie station balnéaire méditerranéenne, en particulier. Les biens proposés à la vente sont dans leur grande majorité en-deçà des montants affichés du côté de Barcelone ou de Madrid !
Pour en savoir plus sur les biens immobiliers disponibles en Espagne et notamment à Calpe, prenez contact avec les conseillers du spécialiste local Grupo Esmeralda. Ils se feront un plaisir de vous guider et de répondre à toutes vos questions. De nombreux biens tels que des appartements, allant du studio au logement familial, en passant par des villas modestes ou plus luxueuses, sont disponibles, nul doute que vous y trouviez votre bonheur !