Définir votre valeur ajoutée
Vous ne serez pas le premier ni le seul à créer un site internet immobilier. Alors, il vous faudra tout d’abord penser à vos éléments de différenciation : quelle est votre valeur ajoutée ? Pour y parvenir, vous pouvez lister vos atouts par rapport à ceux de vos concurrents, analyser votre portefeuille de biens, les besoins de vos clients, de vos prospects. Grâce à cet état des lieux, vous allez pouvoir définir les contours du cahier des charges de votre projet internet. Et ce document servira de base de travail au prestataire que vous allez choisir.
Optimiser votre présence sur le web
Cet aspect passe par plusieurs points qui sont étroitement liés. Premier point : votre site doit être multi-supports (responsive design dans le jargon du web !). Cela signifie que vos clients peuvent le consulter quel que soit le support utilisé : smartphone, tablette, ordinateur. Ainsi, vous allez faciliter la consultation et la navigation des utilisateurs, et par conséquent les fidéliser. Deuxième point : le référencement. Chaque internaute a sa propre façon de faire des recherches sur internet. Il y a ceux qui connaissent déjà le nom de l’agence et ceux qui saisissent une suite de mots clés. Le référencement va permettre de répondre à chacun. Il vous faut donc porter une grande attention aux descriptifs des annonces pour apparaitre dans les premiers résultats de recherche.
Encourager les échanges avec l’internaute
C’est en créant le lien avec l’internaute, simple observateur dans un premier temps, que vous allez le transformer en prospect puis en client. Pour cela, plusieurs dispositifs doivent être mis en oeuvre. Le «clic to action» est un premier élément très important, il va permettre au visiteur de rentrer directement en contact avec un agent immobilier et de lui poser toutes les questions qu’il souhaite. Les alertes mails représentent elles aussi un avantage : l’internaute peut saisir tous ses critères et recevoir un mail l’informant lorsque de nouvelles annonces répondant à ces exigences viennent d’être publiées. Si l’internaute a accès à tout ce dont il a besoin sur votre site, il deviendra rapidement un utilisateur fidèle et satisfait.
L’Espagne : un marché à analyser
Enfin, avant de déployer votre stratégie, il vous faut prendre le temps d’analyser le marché. L’Espagne est un excellent exemple à étudier. Après la crise, les prix des appartements et des maisons avaient baissé. Mais au dernier trimestre 2014, on a observé une légère reprise, signe encourageant laissant augurer de la reprise à venir. De plus, les transactions immobilières ont augmenté de 48% comparé à l’année précédente sur l’année 2014. Ces chiffres se vérifient surtout dans les grandes villes et sur la côte méditerranéenne. Les acheteurs les plus attirés par l’Espagne sont tout d’abord les anglais (15%), les français (10%), les russes (9%) et enfin les belges (7%).
Vers la fin de la récession
Depuis le dernier trimestre 2014, on constate que même si les prix dans l’immobilier ne montrent pas une augmentation significative, la baisse s’est ralentie. Dans les grandes villes par exemple, la baisse des prix s’est limitée à 4,8%, dans les métropoles, elle n’était que de 3%, et sur la côte, dans la ville de Calpe entre autres, les prix ont même légèrement remonté de 0,4%. Autre atout de l’Espagne : les coûts des transactions. Que ce soit l’impôt sur le transfert de propriété, les commissions des agents immobiliers, le coût total peut se situer entre 10,5% et 16,5%. En résumé, lorsqu’on fait une analyse globale du marché immobilier espagnol, on réalise rapidement qu’il rassemble de nombreux avantages : des prix encore bas, un cadre de vie agréable, tous les éléments sont réunis pour séduire les investisseurs.
Pour plus d’informations sur les biens disponibles à Calpe, contactez Grupo Esmeralda, leader du marché immobilier sur la Costa Blanca.
